La crise de la covid-19 fut le moment d’une grande introspection et d’une remise en question des normes préétablies chez un grand nombre de personnes. Il s’en suit une profonde modification des habitudes de consommation et cela même dans l’immobilier. Les acquéreurs portent leur intérêt sur des propriétés autrefois reléguées au second plan. Quels sont les nouveaux pôles d’intérêt des acheteurs après la covid-19 ? Les campagnes sont-elles le nouvel Eldorado ? Dans cette revue, faisons l’état des lieux du marché de l’immobilier en France.
L’essor des villes moyennes
Contrairement à ce qui avait été pressenti, le volume des transactions n’a pas dégringolé depuis le début de la pandémie. Le véritable changement se trouve dans la nature des transactions. Durement éprouvés par les confinements urbains, les particuliers sont attirés par l’espace et la verdure que ne peuvent plus leur offrir les grandes villes. Toutefois, ils ne se sont pas massivement tournés vers les campagnes (malgré la hausse notée), mais vers les villes moyennes. Si vous aussi vous souhaitez acheter, vous découvrirez sur ce site des offres exceptionnelles.
Compromis parfait entre les mégapoles et les petites campagnes, les villes moyennes garantissent aux travailleurs le gain d’espace et la proximité avec les lieux de travail. Les régions comme la Vendée sont ainsi plébiscitées. Depuis la pandémie, les propriétés situées dans les villes Vendéennes sont en effet très demandées. Cela est dû à la proximité de certaines de ces villes de la Mer et du fleuve qui traverse la région. De plus, la Vendée est une région qui attire par ses paysages et par la nature omniprésente en son sein.
Un gain d’attractivité des maisons
L’une des implications majeures de la crise sanitaire sur le marché immobilier est l’augmentation de l’attractivité des maisons. En France, le nombre d’acheteurs en recherche d’une maison est en effet passé de 64 à 81% depuis la subvenue de la covid-19. Les acquéreurs sont non seulement à la recherche d’un espace extérieur, mais également d’une grande superficie intérieure. Le télétravail aidant, les acquéreurs veulent faire de leur maison un havre de paix où il fera bon vivre au quotidien. Les appartements dans les grands immeubles représentent, aujourd’hui, une forme de conditionnement à la vie terne que les jeunes cadres rejettent.
De plus, les maisons neuves ont également le vent en poupe. Les acquéreurs ont un plus grand souci de leur confort et tiennent à bâtir leur maison selon leur plan. Si vous êtes également dans cette optique, le mieux sera de faire appel à un promoteur immobilier compétent qui saura transformer votre rêve en réalité.
Paris se maintient malgré tout
Malgré la désaffection constatée à l’encontre des grandes villes, Paris survit à la crise. Loin des grandes dégringolades de prix pronostiqués, la Ville lumière maintient ses prix constants avec seulement une légère baisse dans certains arrondissements. Les nouvelles acquisitions partent dans les alentours de 10 451 € le m² contre 10 643 € le m² l’année dernière. Le marché étant entré dans une phase de stabilisation, tout porte à croire que les prix ne descendront pas en dessous des 10 000 €. Le marché immobilier parisien survit donc parfaitement à la crise.